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  • Ma table de nuit s'écroule : les livres que je lis
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  • Le meilleur du best of the top
  • Mon fil RSS que j'avais oublié de mettre (j'ai quand même déménagé pour ça !)
  • Samedi 12 Mai 2007
    L'Enfer au téléphone
    A la BNF, le fond secret de littératures érotiques s'appelle l'Enfer. A Vienne, Aiutriche, on ne sait pas s'il a un nom, mais rien de plus simple pour le vérifier maintenant : il suffit d'appeler le Diable en fourrure au téléphone pour, "moyennant 0,39 euro la minute, [...] entendre sept extraits de textes érotiques et trois chansons coquines".

    Qui a dit que les bibliothèque n'avaient pas d'idées géniales ?
    Ecrit par Heileen, à 11:05 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 0 commentaires


    Jeudi 10 Mai 2007
    De l'art du nanar
    Parce qu'il n'y a pas qu'au cinéma qu'il existe des nanars :
    Bad books have an important place in our lives, because they keep the brain active. We spend so much time wondering what incredibly dumb thing the author will say a few pages down the road. One caveat: As with bad movies, a book that is merely bad but not exquisitely bad is a waste of time, while a genuinely terrible book is a sheer delight.[...]

    Bad books fall into three broad categories: the stupid, the meta-stupid and the immoral. Each has its own inimitable charms. Stupid books range from anything with the word “rapture” in the title to investment guides linking the yield curve with the teachings of Nostradamus. Meta-stupid books try to explain how to hold better meetings or motivate slackers by imitating the doomed but well-organized Antarctic explorer Ernest Shackleton. Immoral books include titles like O. J. Simpson's “I Want to Tell You
    Juste un détail : contrairement à l'auteur de cet article, je ne pense pas que le Da Vinci Code soit un nanarlivre, mais un vrai mauvais mauvais bouquin.

    Ecrit par Heileen, à 17:55 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 0 commentaires


    Samedi 06 Janvier 2007
    Gothic Faulkner
    Cela se passe de commentaires :
    Jill, la fille de William Faulkner, a retrouvé un scénario surprenant parmi les notes et de projets laissés à sa mort par le romancier, qui a travaillé à Hollywood dans les années 1930 pour, notamment, Howard Hawks. Il s'agit d'un film de... vampires, dont l'action se situe en Europe centrale. Le texte de cette curiosité signée du Prix Nobel de littérature est entre les mains du producteur Lee Caplin (Ali). 
    Via L'Express.
    Ecrit par Heileen, à 02:09 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 0 commentaires


    Lundi 30 Octobre 2006
    Batailles de vieilles chattes
    Je pourrais vous dire que Nancy Houston a gagné le prix Fémina de cette année, et qu'à force, elle va finir par pluys pouvoir les compter ses prix littéraire, ou que le Médicis est allé à Sorj Chalandon, et qu'il me suffit de lire l'ode de Donnedieu de Vabre pour savoir que je n'ai pas envie de le lire : "Chalandon réussit à rendre sensible le mystère, la gravité secrète et sacrée d'une lointaine promesse d'enfance faite par tous à Etienne et Fauvette et qui, si elle était réalisée, pourrait déjouer tous les dangers. Mais, à travers l'évolution, les variations, les changements opérés sur le corps de cette promesse, au fil des années, c'est aussi un magnifique roman sur le temps, sur la tentation de renoncer, sur la fraternité qui permet de résister à l'usure des serments, sur la lumière tenace de la fidélité aux autres et à l'amour qui s'oppose à la mort". Oui, en effet.

    Non, moi, je suis muvaise mauvaise mauvaise méchante, ce qui m'intéresse, ce sont les boires et les déboires du Prix Femina. Madeleine Chapsal, jurée millénaire de l'institution centenaire, vient de se faire virer avec pertes et fracas pour ses propos "diffamatoires" dans son dernier livre. Entre querelles de récré, et larmes de crocodiles, ça vole très haut :
    « Paris, 8 novembre 2005. Raconter une remise du prix Femina, le jour J, relève de l'impossible, tant il se passe de petits faits et gestes entre douze dames, plus la secrétaire du prix, Anne de Caumont. [...] Six d'entre elles avaient décidé mordicus et avant même d'entrer en scène de voter pour Gallimard en faveur d'Asiles de fous, de Régis Jauffret. Je n'avais rien contre, mais c'est ce côté « gang » qui m'a énervée. Alors que je n'avais aucun choix préconçu - mes candidats étant écartés : Michel Houellebecq, La Possibilité d'une île, et Yasmina Khadra, L'Attentat, repoussés d'office par ces frileuses -, faute de mieux je me suis rabattue sur Donner et son Bang ! Bang !'il pouvait cristalliser des voix, cinq en fait.
      Alors a commencé la bagarre, ou plutôt le blocage : six d'un côté, six de l'autre, en fait cinq fermes pour Donner et une « flottante », Régine Deforges. Au sixième tour, Régine a changé son fusil d'épaule et a voté avec les gallimardiennes, alors qu'au septième tour de blocage la présidente, Solange Fasquelle, aurait eu deux voix, ce qui aurait pu changer la donne, au grand mécontentement des « alliées ». (Une tardive fureur s'est ensuite manifestée contre Mona Ozouf, laquelle aurait promis de voter avec le « groupe » et qui ne s'était pas exécutée : comme si on pouvait s'engager sur un vote littéraire ! Chacune est et doit rester libre ; pour moi, je le suis totalement et j'ai essuyé, ahurie, les larmes de Mona !). [...] Quant à Régine, après avoir défendu le supposé provocateur (NDLR : Houellebecq) avec beaucoup de verve et, semblait-il, de conviction, elle n'a pas voté une seule fois pour lui... À l'énoncé du résultat : sept voix contre cinq, Viviane Forrester, assise à ma droite, a éclaté en applaudissements : « C'est un Femina historique ! » Est-ce qu'on applaudit au nez et à la barbe de consoeurs perdantes ? »
    Via Le Figaro.

    Du coup, Régine Desforges, qui devait en avoir sa claque de participer à ses conneries, a démissionné par solidarité :
    "l'exclusion de Madeleine Chapsal est injustifiée". "Ces dames ont jugé diffamatoires des propos concernant les votes du Femina. J'ai lu le livre et il n'y a pas de quoi fouetter un chat", a-t-elle ajouté. Si elles se sentent "aussi visées, on peut se poser des questions", selon elle.
    Vous noterez au passage l'ironie involontaire de l'arcticle : "Madeleine Chapsal a été exclue" à l'unanimité". Un p'tit Alzheimer, Régine ?

    Il faut savoir que ce n'est pas la première fois qu'une jurée se fait exclure du Fémina, mais c'est un secret bien gardé (je n'ai trouvé qu'une seule mention de cela sur le web) :
    Dominique Rolin est exclue en 1965 du jury Femina à la suite d’un article retentissant dénonçant en des termes voisins les pratiques du Femina : « Notre groupe n’a qu’une existence fictive, les véritables opinions se nouant et se dénouant ailleurs. » C’est la grande époque où l’on surnomme le Femina le « prix Gallimard », et il est vrai que les statistiques sont sans équivoque
    Plus le monde de l'édition change, plus il se ressemble...

    (Bon, ça fait deux fois que cet article disparait dans le néant du web, à la troisième, je cesse de coopérer...)
    Ecrit par Heileen, à 18:40 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 0 commentaires


    Lundi 10 Avril 2006
    Barbares, mangeurs de fromage et en avance sur l'horloge atomique

    Est-ce que cet article dit bien que pendant la Révolution française on s'amusait à couvrir les livres en peau humaine ? Vous croyez qu'on avait le temps, franchement ?!

    Attendez une seconde... Est-ce que cet article dit bien que la Révolution française a eu lieu il y a 300 ans ?

    Ecrit par Heileen, à 16:47 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 2 commentaires


    Mardi 14 Mars 2006
    God's Fear Factor

    Anne Rice a trouvé Dieu. Pas sûr que Dieu, lui, ait envie de la trouver.

    Après avoir renouvelé le genre du vampire, puis l'avoir littéralment taillé à la machette pas aiguisée avant de le laisser pourir au soleil, elle s'en prend à la plus grnade idole de sa vie : Jeeezz !!!! Elle lui a consacré un roman, elle rêve maintenant de le voir adapté en série télé. Cinq saisons lui parraissent suffisantes pour couvrir la vie du bambin Jésus entre Nazareth et Jérusalem. Même lui finirait par s'ennuyer de sa propre histoire, à ce rythme-là.

    Ecrit par Heileen, à 11:45 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 0 commentaires


    Jeudi 09 Mars 2006
    Exception culturelle

    Selon un sondage La Figaro-Ipsos Culture, 1/4 français veut être écrivain. A la question «Avez-vous écrit ou songé à écrire un livre», 23% réposes positives. et pour faire plus précis :

    Le profil type d'une personne ayant écrit (ou songé à écrire) un livre est donc : une femme (59%) de plus de 35 ans (67%) plutôt inactive (48%) issue d'un foyer plutôt aisé (+ de 27 600 € net par an : 37%) et qui détient un diplôme supérieur au bac (42%). Elle habite en province (75%) dans une agglomération de plus de 100 000 habitants (28%).

    Madame Bovary, donc. Oui, pas de doute, on est bien en France.

    Ecrit par Heileen, à 13:39 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
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    Vendredi 03 Mars 2006
    Da Vinci Code Revisited

    Ca ne s'invente pas, ô, non, mais ça se fête !

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    Ecrit par Heileen, à 14:09 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
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    Lundi 27 Février 2006
    Plus d'un tour dans sa poche

    Posh Spice -- ma'ame Beckham -- qui n'a jamais lu un livre de sa vie mais aime beaucoup les magazine des mode (il y a plein d'images) va écrire un livre pour les enfants (il y a plein d'images).

    Et oui, on peut encore faire pire que les livres pour enfants de Madonna.

    Ecrit par Heileen, à 11:10 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
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    Mercredi 25 Janvier 2006
    Beaucoup trop d'adverbes, Monsieur Tolkien

    La difficile réconciliation des lecteurs et des écrivains n'est pas encore pour demain :

    The Sound and the Fury (1929)
    Author: William Faulkner
    “This book is like an ungrateful girlfriend. You do your best to understand her and get nothing back in return.”

    The Lord of the Rings (1954)
    Author: J.R.R. Tolkien
    “The book is not readable because of the overuse of adverbs.”

    Mrs. Dalloway (1925)
    Author: Virginia Woolf
    “The only good thing to say about this “literary” drivel is that the person responsible, Virginia Woolf, has been dead for quite some time now. Let us pray to God she stays that way.”

    Ecrit par Heileen, à 14:17 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
    Lien permanent 1 commentaires


    Mardi 03 Janvier 2006
    Arsenic cuvée 2006

    Certains trouvaient malin, il y a quelques années, de mettre de l'arsenic dans les pots de mousse au chocolat Nestlé et dans le Blédina ibid. Mais d'autres ont trouvé une manière beaucoup plus saine et amusante de passer les longues heures où on se fait chier au boulot : et si on changeait les phrases d'un livre vocal pour enfants ?

    C'était la version soft, maintenant, j'attend la version X.

    Ecrit par Heileen, à 13:54 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
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    Vendredi 16 Décembre 2005
    Service après vente

    Les héritiers de D.H. Lawrence n'ont vraiment pas d'humour : il veulent faire interdire l'idée brillante d'un petit malin. Ce qui est bien dommage, car de la lingerie portant le si bien approprié nom de la si nue Lady Chatterley pourrait presque me donner envie d'acheter de la lingerie. Presque... Parce que, bon, faut bien avouer, la lingerie, c'est chiant quand même.

    Mais ce dont les héritier ne se rendent pas compte, c'est qu'une ligne de lingerie, c'est plus amusant qu'un salon Hémingway ou des romans policiers soporiphiques Jane Austen.

    Ecrit par Heileen, à 17:23 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".
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