A la BNF, le fond secret de littératures érotiques s'appelle l'Enfer. A Vienne, Aiutriche, on ne sait pas s'il a un nom, mais rien de plus simple pour le vérifier maintenant : il suffit
d'appeler le Diable en fourrure au téléphone pour, "
moyennant 0,39 euro la minute, [...] entendre sept extraits de textes érotiques et trois chansons coquines".
Qui a dit que les bibliothèque n'avaient pas d'idées géniales ?