Ca y est, c'est reparti, la nouvelle J.K. Rowling par-ci, le nouveau Philip Pullman par-là : la seule constante, c'est que les journalistes ne se fatiguent jamais de ce petit jeu, la seule chose qui change, c'est l'avance que ces jeunes (et moins jeunes) "prodiges"
reçoivent : pour le reste...
(Pour le reste de l'article aussi je hausse du sourcil :
"We have sold the rights all around the world, including the likes of America and Japan, but even in countries like Iceland, where there is only one publishing house, and France, where it is very difficult for an English book on its debut.
Je voudrais que l'on m'apporte la preuve qu'il n'y a vraiment qu'une
seule maison d'édition en Islande, quand à la capacité d'un livre anglo-saxon d'avoir du succès en France : il me semble qu'avec l'Allemagne, nous sommes le pays d'Europe où la littérature étrangère se vend le mieux : alors les considérations d'éditeurs ringards...)