Le gouvernement britannique a décidé de
briser les choix testatmentaires d' Anthony Powell, grand (et riche) écrivain brittanique mort en 2000 : il désirait que ses
manuscripts aillent à son ancienne école (Eton); ils iront à la British Library, sous le couvert de payement de l'impôt sur la succession (on y croit).
"These manuscripts are a national treasure and should be viewed by as many scholars, researchers and members of the public as possible. That is why I decided that the British Library would be the right home for these manuscripts. It is part of government policy to make works of art and important documents available to as many people as possible.", a dit la secrétaire déléguée à la culture.
C'est vrai qu'à Eton, absolument
personne ne peut les consulter, c'est pas comme à la British Library, où tout est en libre-accès...
Marrant tout ça. Moi, j'attend encore que le gouvernement brittanique proteste contre la dispersion, puis la disparition (à priori même destruction) des oeuvres des Brontë dans des collections
privées. Je focalise trop.