La Muselivre

D'un côté je suis débordée, et je trouve pas le temps de poster, de l'autre je me fais aggressée par un libraire vindicatif qui n'aime pas mon blog, qui ne m'aime pas, qui ne comprend rien à ce que j'écris et qui trouve que j'ai la mentalité d'un enfant (si je résume).

Alors ça fait plaisir de savoir qu'il y a des gens qui m'aiment quand même ! Merci !

Sais-tu que tu es la seule personne dont joueb ne me prévient pas qu'il a poster un commentaire (dum dum dum, c'est du charabia : je ne reçois pas de mail me prévenant que tu as commenté, c'est mieux dit comme ça) : serais-tu en litige avec mon robot ? ce serais bien que tu rêgles ça, parce que moi j'aime bien tes commentaires :)

Je n'ai pas du tout envie de lâcher le morceau, je te rassure, mais vraiment, entre le peu de temps que j'ai pour poster (j'ai pas eu le temps de répondre à Claro-- Claro !!!), et les trolls qui viennent m'insulter régulièrement, je perd un peu patience. Mais je m'accroche !

Merci de cette charmante marque de sympathie, même si je ne suis pas sûre de la mériter.

J'ai toujours sur mon étagère, bien en évidence, marqué d'un post-it voyant pour ne pas les oublier, les deux livres de lot 42 que tu m'as envoyé, et dont je voudrais absolument faire une critique, mais le monde entier est contre moi : mon ordinateur portable enfile les pannes comme on enfile des perles sur un collier, et je ne peux pas venir taper mes critiques au boulot (ça me prend beaucoup trop de temps). Par ailleurs, je suis maintenant lectrice pour Belfond en plus de mon stage, pour réussir à bpoucler les fins de moins, et à par des épreuves, je n'ai plus le temps de rien lire du tout (je travaille presque 10 heures par jour, un vrai bonheur, non ?)

Peut-être que je pourrais enfin m'y remettre à la fin de mon stage, mais d'ici-là je suis toute penaude et présente mes plus plates excuses...

Snif, c'est pas drôle la vie de précaire de l'édition.