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    Poets die sooner than playwrights. Playwrights die sooner than novelists. And novelists die sooner than nonfiction writers, according to a study by James C. Kaufman, PhD, of California State University.

    Mince ! Et si on est les trois à la fois ?

    Le
    seul extrait disponible en ligne précise :
    Although several investigations have found that poets tend to die younger than other types of writers, these studies often do not take into account variables of gender and culture. This study examines 1,987 deceased writers from four different cultures: American, Chinese, Turkish, and Eastern European. Both male and female poets had the shortest life spans of all four types of writers (fiction writers, poets, playwrights, and non-fiction writers), and poets had the shortest life spans in three of the four cultures (and the second shortest life span among Eastern European writers).

    Les poètes mourraient plus jeunes parce que :
    a) ils souffrent plus de maladies mentales, donc, sont plus autodestructeurs.
    b) ils deviennent célèbres plus jeunes (et ça, c'est bien connu, la célébrité à quinze ans, ça tue...)
    c) la fiction, la poésie, etc. est une pratique solitaire (lisez entre les lignes masturbation de l'esprit), et rester seul devant ça page blache, ça tue aussi sûrement que la morsure du mamba "Uma Thurman" noir (l'ennui, cette arme de destruction massive inconnue)

    Conclusion de l'étude : elle se veut une aide pour les poètes et les professionnels de santé pour en apprendre plus sur "l'impact négatif de l'écriture poétique sur la mortalité et la santé" (arf ! c'est encore plus beau en anglais : "negative impact of writing poetry on mortality and health")

    (Via
    The Elegant Variation -- le nombre de fois où je lui ai fait de la pub en quelques jours ; vous y êtes allés, au moins ?)
    Ecrit par Heileen, à 22:02 dans la rubrique "Laissez-moi me marrer".



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