A l'exception de Pouchkine, très amateur de jupons, de jeux de cartes, et de duel qui finissent mal, tous les auteurs russes sont auréolé d'une légende dorée qu'aucun critique russe jusqu'ici n'aurait eu l'affront de critiquer. Même Dostoïevsky a toujours eu figure de pur, malgré son temps aux travaux forcés.

Mais une nouvelle biographie russe de Tchékov démontre que cet auteur si sage, si prude et si délicat dans ses textes, avait de nombreuses maîtresses, et un très net penchant pour la gougaterie :

It shows that Chekhov was far from the prude he was often shown to be, and enjoyed numerous love affairs. He wrote frankly about them in letters to his brothers and friends, calling his partners "dogs", "fools" and even "the corn of my soul."

Article à lire aussi pour tout savoir des amours platoniques de la femme de Pouchkine (schocking, schocking !) et comment un moustique peut rendre fou un Tolstoï.

Via Maud Newton

Ecrit par Heileen, à 13:19 dans la rubrique "Littérature générale".

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