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  • L'Affaire

    J'ai attendu un peu, pour trouver un peu plus d'informations, et pour voir comment, cette histoire allait évoluer, et visiblement, elle évolue mal (mais bien aussi, dans un sens).

    Le 12 mars, le Permanent du Nouvel Obs signalait qu'un livre sur la sphère d'influence de BHL ("Grâce à ses relations dans les médias, Bernard-Henri Lévy n'hésite pas à corriger la parution des articles qui lui déplaisent"), Une imposture française, editions des Arènes, était censuré par la Fnac -- en particulier le site internet --propriétée de Pinault, dont BHL est un ami. Mais dès le lendemain, la Fnac démentait, parlait d'un bug, et le problème était rêglé de suite sur le site internet.

    J'y ai cru, cela semblait plus que plausible. Sauf que, bien sûr, c'est beaucoup plus compliqué, mais le Nouvel Obs, ni personne d'autre, ne veut plus se mouiller. L'éditeur, lui, a cependant les moyens de juger de la vraie tentative de censure de la Fnac :

    -Rupture de stock de longue durée dans certains points de vente de l’enseigne, alors que la centrale de la Fnac était approvisionnée normalement. Neuf magasins Fnacs ont dû se fournir directement chez l’éditeur et non auprès de leur stock central, ce qui est exceptionnel.

    Deux sources concordantes, à un niveau hiérarchique élevé, ont confirmé l’intervention du groupe François Pinault, propriétaire de l’enseigne pour freiner la diffusion d’Une imposture française. Une telle intervention est rare, mais, toujours selon nos informations, non exceptionnelle.

    Maintenant, la question est de savoir quelle influence cette histoire a eu sur les ventes : en effet, le livre se vend plutôt très bien.

    Tiré à 4.000 ex le 23 février, l’enquête de Nicolas Beau du Canard enchaîné et d’Olivier Toscer du Nouvel Observateur a été réimprimé deux fois en trois semaines pour un tirage total de 12.000 ex, avec des sorties entre 400 et 800 ex par jour.

    Ecrit par Heileen, à 14:26 dans la rubrique "Les déboires de l'édition".

    Commentaires :

      Anonyme
    03-04-06
    à 16:32

    Lien croisé

    La feuille : "e de manière agressive, ce qui alimente la dérive et contribue à vicier la chaîne du livre. On finit par survendre en permanence. Après les lecteurs sont déçus. Et c'est l'ensemble des éditeurs qui en paient les conséquences.Mise à jour du 21/03/2006 : C'est visiblement moi qui me suit précipité. "L'Affaire" rebondit comme le souligne La Muselivre. Guy Birenbaum publie sur son blog un mail et un communiqué de presse de Laurent Beccaria : Plusieurs faits ont surpris l’éditeur :-Référencement de ce livre d’enquête au rayon philosophie, entre Hannah Arendt et Emmanuel Kant.-Disparition inopinée du livre "



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