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  • Heileen, de mon faux nom,
  • 25 ans
  • la majorité de mes dents,
  • allergique à l'orthographe (ça va presque mieux en le mentionnant)
  • Le compte à rebours est lancé
  • : allez, soyez sympas, achetez-moi des trucs pour mon anniversaire...
  • Le meilleur du best of the top
  • Mon fil RSS que j'avais oublié de mettre (j'ai quand même déménagé pour ça !)
  • Tour de piste
    - Nouvelle critique de L'hibiscus pourpre dans Libération.
    Sur Papa, Kambili porte un regard d'amour, d'admiration et de crainte. Elle éprouve des sensations, de pesanteur, ou d'angoisse, comme lorsque les mots restent coincés comme des grosses bulles dans sa gorge. Mais, au-delà de la parole, c'est la pensée même qui, le plus souvent, lui fait défaut. Et c'est au lecteur que revient le rôle de mettre des mots sur ce que montre son regard : cet homme qui impose piété, ordre et silence dans son opulente maison, qui règle à la minute près l'emploi du temps de sa femme et de ses enfants, est un monstre. Un monstre absolument convaincu de bien faire, ce qui n'enlève rien à son pouvoir de destruction, au contraire, puisque cela contraint Kambili à l'aimer, son frère et sa mère à se soumettre.
    - Finalement, le blog de la Despentes est bien un vrai, et c'est encore plus effrayant.

    - Note pour moi-même : ne jamais travailler pour La Martinière, c'est un type dangereux. Mais ne vous inquiétez pas, les libraires se défendent bien :
    «Très cher et très puissant Hervé de La Martinière» : «Nous, libraires indépendants (Groupement INITIALES), sortant tous de chez le coiffeur, nous vous prions de prêter l'oreille à nos humbles remarques. Nous sommes bien conscients de n'être que des empêcheurs de "logistiquer" en rond dans votre monde qui ne connaît que la logique du "pas assez de volume". Trente libraires à différents points de l'Hexagone, constatant les nombreux dysfonctionnements, sources d'importants désagréments, de votre nouvelle structure de distribution, sont évidemment des menteurs face à vous qui détenez la vérité. Que votre grandeur s'en offense est parfaitement logique, bien qu'il soit possible que le succès de votre "challenge" implique quelques dégâts collatéraux dans l'édition et la librairie. Souffrez pourtant d'être dans un monde où subsistent encore quelques forces qui n'obéissent pas à votre logique et sachez que l'espace du livre reste pour nous le lieu de l'échange sans l'anathème.»
    - Après Roth (non, je n'ai pas linké tous les articles qu'il y a eu sur Roth, et maintenant c'est trop tard pour les retrouver, mais pour ma défense, je dirais que j'ai été traumatisée par le très mauvais jeu de maux du titre de la critiques qu'en avait fait Libération et que je suis restée longtemps en état de choc : il s'agissait de Que la bite meure), c'est à Paula Fox d'être la star de la rentrée : sa vie (même si c'est amusant deux minutes de raconter sur un blog la filiation entre elle et certaine star de rock, dans un article publié, c'est beaucoup plus moyen), son oeuvre, ses livres pour enfants. Je rappelle qu'elle a deux livres publiés lors de cette rentrée : Personnages désespérés et Le Dieu des cauchemards - Critique du dernier Jeannette Turner Hospital :
    Deux ans après l'attentat contre les tours du World Trade Center, la romancière australienne Janette Turner Hospital offrait aux lecteurs des Etats-Unis – née à Melbourne en 1942, elle enseigne actuellement à l'Université de Caroline du Sud – ce qu'on peut considérer comme le grand roman du terrorisme. Dernières Recommandations avant la peste (Due Preparations for the Plague, W. W. Norton & Co, New York 2003) est un de ces livres qu'on ne lâche pas une fois qu'on l'a commencé: traduit un an après, ce suspense politique et littéraire tient le lecteur en haleine et touche par l'hommage qu'il rend aux victimes et aux survivants. Car dans l'histoire inventée de l'avion d'Air France parti de Paris pour New York, le 8 septembre 1987, et détourné par des terroristes islamistes qui le font exploser en Irak, la romancière imagine que des enfants ont miraculeusement été épargnés.
    - C'est le plus grand, le plus charmant... Arsène... Arsène...

    J'ai vu le tournage de cette scène-là !!!!!!!!!!!!!!

    Et Jacques Dutronc n'a qu'a bien se tenir devant la nouvelle génération.

    (Et pour les abonnés haut débit de club internet, les 10 premières minutes du film. Je n'ai qu'un mot à dire : P2P !!!!!)
    Ecrit par Heileen, à 11:56 dans la rubrique "Brèves".



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