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  • Heileen, de mon faux nom,
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  • la majorité de mes dents,
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  • Le meilleur du best of the top
  • Mon fil RSS que j'avais oublié de mettre (j'ai quand même déménagé pour ça !)
  • Jackpot ?
    The truth is that the jackpot theory of literature only works up to a point, and, particularly, in an impressionable marketplace like America where barrow-loads of fashionable books are bought but not read. Most of the time, in Britain, the so-called 'overnight success' usually turns out, on closer inspection, to be the well-deserved fruition of a painstaking apprenticeship.
    [...] The shelf-life of most paperbacks is commensurate with yoghurt. Without Christmas, most publishers and their writers would starve.

    En fait, aussi incroyable que cela puisse paraître, des livres Jackpot, en France on en a eu aussi : les deux premiers qui me viennent à l'esprit sont Bonjour Tristesse et Truisme (et je peux aussi cité, pour les romans étrangers La nostalgie de l'ange). Mais en y regardant de plus près, ce qui me frappe encore plus (comparé aux exemples donnés dans l'article : Paul Auster et Ian McEwan) c'est que les livres qui ont apporté le succès à ses inconnues d'auteurs débutantes ne sont pas bons. Mais alors pas du tout. En fait, se sont de vrais romans jetables vaguement rattrapés par le reste de l'oeuvre, qui ne s'élève pas pourtant très haut au dessus des paquerettes.
    Si je cherche d'autres livres ayant eu un succès pas croyable du jour au lendemain, on en arrive à la même conclusion que le journaliste : ce sont souvent des auteurs qui faisaient un petit bout de bonhomme de chemin dans une obscurité quasi surnaturelle. Houellbecq ou Beigbeder sont les exemples types. Tiens, c'est marrant ça : ce sont aussi pour de mauvais romans.

    Ce ne sont pas ces auteurs qui penseront comme Auden que la célèbrité "rend souvent un auteur vain, mais rarement fier".
    Ecrit par Heileen, à 13:08 dans la rubrique "Littérature générale".



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