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    La Martinière l'avait bien cherché, maintenant il n'a plus les moyens de se plaindre que le retour de bâton fasse aussi mal. Mais est-ce encore et toujours aux éditeurs indépendants d'en souffrir ?

    «Nous avions les meilleures relations avec le Seuil. Aujourd’hui le contrat de confiance est rompu», soupire Benoît Bougerol, vice-président du Syndicat de la Librairie française (SLF). Plus alarmant: la révolte gronde chez les éditeurs indépendants – Milan, Ecole des Loisirs, Payot-Rivages, Autrement, Minuit, Corti... – distribués par Volumen. «On nous promet que ça ira mieux en janvier. Mais en attendant nous sommes en train de crever», tempête l’éditrice Liana Levi. Microscopiques mais très prestigieux, certains de ces éditeurs pourraient être happés par le trou d’air. «Des maisons comme la nôtre ou Minuit ont résisté aux nazis, mais elles ne survivront peut-être pas à la rentrée littéraire 2004», grince Bertrand Fillaudeau chez Corti. Chez ces spécialistes du «fonds», dont les ouvrages à longue espérance de vie doivent être acheminés en petite quantité et avec précision, les chutes de chiffre d’affaires sont brutales: jusqu’à - 40% chez Payot-Rivages.
    D’où l’idée de demander réparation. «Des huissiers ont constaté les délais anormaux et les nombreuses erreurs de Volumen», révèle un libraire. Voire de rompre les contrats dès que l’occasion s’en présente comme l’a déjà fait l’impétueuse Odile Jacob, patronne des éditions du même nom, qui a trouvé refuge à la Sodis, filiale de distribution du groupe Gallimard. Son exemple pourrait être bientôt suivi par les Editions de Minuit... Le risque: une perte d’activité sensible pour le groupe La Martinière-Seuil dont la majorité du chiffre d’affaires et des bénéfices proviennent de la distribution. Bref, tout le contraire de l’«efficacité» et des idylliques «synergies» promises par Hervé de La Martinière.
    Ecrit par Heileen, à 19:38 dans la rubrique "Les déboires de l'édition".

    Commentaires :

      Zakath-Nath
    Zakath-Nath
    16-12-04
    à 21:27

    La Martinière: grrr!

    Quand quelqu'un qui se prétend éditeur répond aux libraires s'inquiétant que les livres n'arrivent pas depuis le remplacement du distributeur du Seuil par Volumen "Si les libraires se font des cheveux, qu'ils aillent chez le coiffeur", y'a plus qu'à tirer l'échelle...

    En attendant, ça fait plaisir de voir quelqu'un s'intéresser aux problèmes de l'édition française actuelle.




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